Un toit mobile pharaonique pour l’US Open de tennis à New York

Roland-Garros sera donc le dernier des quatre tournois du Grand Chelem de tennis à ne pas être couvert. L’US Open à New York a fait, en effet, peau neuve pour l’édition 2016. Son court central, le Arthur Ashe Stadium, inauguré ce lundi, est désormais équipé d’un toit rétractable. Sa particularité ? Un toit en forme d’octogone soutenu par une structure en acier de 6.500 tonnes.

Les porteurs du projet de l’extension du stade de Roland-Garros, dans les serres d’Auteuil à Paris, affichent un regard envieux sur l’US Open à New York. Son court central, le Arthur Ashe Stadium, le plus grand court de Flushing Meadows, dans le Queens est désormais équipé depuis lundi 29 août 2016 d’un toit rétractable, comme cela a déjà été réalisé à l’Open d’Australie et à Wimbledon en Angleterre.Une construction, qui s’élève à 134 millions d’euros, et qui a été célébrée le jour de l’inauguration par un concert de Phil Colins le même soir. La particularité de ce stade ? « Soutenu par une structure en acier de 6.500 tonnes, le toit en forme d’octogone est conçu à partir de pans recouverts de Teflon », signalent les organisateurs de l’US OPEN et la Fédération américaine de Tennis, dans un communiqué.

31/08/16 – batiactu.com – Lire l’article

Stade Matmut Atlantique de Bordeaux : un champignon a brûlé une partie de la pelouse

Début août, un champignon s’est développé au niveau du rond central. La pelouse est en partie brûlée. Il faudra attendre des températures moins hautes et de nouveaux semis pour un retour à la normal

Les quelques plaques jaunes visibles sur la pelouse du Matmut Atlantique, samedi 13 août lors du match entre Bordeaux et Saint-Étienne, n’étaient donc pas dues qu’à la chaleur étouffante et sèche qui s’abattait déjà sur la ville. Un champignon appelé pythium attaque en effet le terrain hybride de l’enceinte depuis la deuxième semaine du mois d’août.Stade Bordeaux Atlantique, la société chargée de l’exploitation et de l’entretien du Matmut, le traite avec des fongicides. Oui mais voilà : « Le pythium se développe lorsque les températures atteignent plus de 30° le jour et ne descendent pas en-dessous de 20° la nuit, ce qui est le cas ces derniers jours », explique-t-on à SBA. Et les fongicides utilisés n’ont pas suffi à éradiquer cette maladie assez courante vu la canicule. ‘est d’ailleurs le même champignon qui avait rendu le gazon du Stadium de Toulouse (le même qu’au stade du Lac) à la limite du praticable pour la rencontre entre le TFC et Bordeaux de samedi dernier. L’entraîneur haut-garonnais, Pascal Dupraz, avait osé une comparaison avec « le désert de Gobi »… Les dégâts sont nettement moindres à Bordeaux. Seule une zone au niveau du rond central est brûlée – donc de couleur brune – par le pythium. Le reste de la pelouse est dans un bon état mais à la télévision, l’aspect de la surface impactée sautera aux yeux des spectateurs, et ce dès dimanche pour le match entre Bordeaux et Nantes, prévu à 15 heures. Quelles conséquences pour les joueurs, surtout ? Aucune, assure SBA : « Les performances techniques et sportives ne sont aucunement altérées. » Le club, la ville et la Ligue de football professionnel ont évidemment été mis au courant. « La pelouse est peut-être un peu moins jolie, mais très correcte à jouer« , indiquait le directeur général du club, Alain Deveseleer, sur la chaîne officielle du club la semaine dernière. Une réunion technique a lieu ce vendredi au Matmut pour évoquer le sujet. De nouveaux semis seront pratiqués lorsque les températures auront baissé. « Tout est mis en œuvre pour que la pelouse retrouve son aspect normal, mais il faut un peu de temps 26/08/16 – Sudouest.fr – Lire l’article

Obligation de vidange des piscines : l’AMF approuve le projet d’arrêté

Une nouvelle version de l’arrêté relatif aux dispositions techniques applicables aux piscines, soumis au Conseil national d’évaluation des normes (CNEN) le 21 juillet 2016, propose de ramener à une fois par an, contre deux fois par an actuellement, la fréquence minimale de vidange des piscines (les pataugeoires et bains à remous restant soumis à une vidange au moins deux fois par an). Dans un communiqué daté du 21 juillet, l’Association des maires de France (AMF) se félicite de cette nouvelle version du texte. « Grâce à l’évolution des produits et des techniques, la simplification de cette norme ne se fait pas au détriment de la réglementation sanitaire des piscines et des impératifs en matière de santé publique », écrit l’AMF. […] Selon un rapport du ministère des Sports, le coût annuel des vidanges en France pour les bassins intérieurs est estimé entre 6 et 10 millions d’euros. Le passage de deux à une vidange « constitue une économie notable pour les communes et leur groupement, gestionnaires de 80% des 4.135 équipements de piscine représentant 6.343 bassins », conclut l’AMF. Compte tenu des pertes d’exploitation évitées, l’Andes avait même chiffré l’économie à quarante millions d’euros.…] 22/07/16 – Localtisinfo.fr – Jean Damien Lesay – Lire l’article