80 millions d’euros sur 4 ans pour les équipements sportifs en Outre-mer

Patrick Kanner, le ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, a lancé vendredi un « plan de développement des équipements sportifs en outre-mer », d’un montant de 80 millions sur 4 ans, lors d’une visite de 24 heures en Guadeloupe. Une rénovation des équipements sportifs est prévue, notamment après le premier tour de Coupe Davis joué en Guadeloupe par la France en mars dernier.

Ce plan est « valable à partir du 1er janvier 2017 », soit « 20 millions d’euros par an pendant 4 ans, donc 80 millions d’euros qui vont servir de levier pour des financements de la région mais aussi du département en Guadeloupe et dans les autres Outre-mer », a -t-il expliqué. « L’objectif est de remettre à niveau les équipements existants, en créer de nouveaux dans des structures sportives qui n’existent pas et voire même envisager demain de grands équipements sportifs structurants capables d’accueillir des événements nationaux et internationaux », a-t-il précisé, faisant référence à la Coupe Davis, jouée en mars, à Baie-Mahault en Guadeloupe contre le Canada (5-0).

Pour la répartition de cette enveloppe, financée à parts égales par le ministère du Sport et celui de l’Outre-mer, M. Kanner a indiqué la prochaine « installation d’une conférence territoriale du sport, qui alliera l’Etat, les collectivités territoriales, le mouvement sportif et tous les partenaires qui ont envie de faire un diagnostic », afin de « faire partir des projets à partir des besoins ressentis à la base » sans « répartition arithmétique » entre les différents territoires. « J’espère que ces 20 millions feront des petits et qu’ils pourront peut-être devenir 40 grâce à l’action des régions et départements », a déclaré M. Kanner.

23/09/16 – Eurosport.fr – source AFP – Lire l’article

Stade Matmut Atlantique : deux semaines avant un possible changement de pelouse

Stade Bordeaux Atlantique se donne deux semaines avant de décider si la pelouse, dont l’état continue de se dégrader, doit être changée ou non La pelouse du Matmut Atlantique a de nouveau fait peine à voir – et à jouer – ce samedi lors du match entre Bordeaux et Caen. La faute, toujours, au pythium, ce champignon qui la dégrade depuis maintenant plus d’un mois. Alors que l’état du terrain était censé s’améliorer au fil des semaines, c’est plutôt l’inverse qui se produit, ce qui empêche la tenue d’un spectacle correct. Stade Bordeaux Atlantique, l’entreprise qui exploite et entretient l’enceinte, va profiter du mois qui va s’écouler d’ici le prochain match. Elle va procéder à un nouveau semi dès ce samedi soir, vers minuit. Elle se donne ensuite deux semaines pour voir si les graines ont bien pris. Dans le cas contraire, la pelouse sera changée, même si cette décision n’est pas encore à l’ordre du jour. SBA veut en effet « se donner toutes les chances avec des graines à germination rapide » et rappelle qu’en « quatre semaines, la pelouse peut largement repousser ». Quelles conséquences pour les joueurs, surtout ? Aucune, assure SBA : « Les performances techniques et sportives ne sont aucunement altérées. » Le club, la ville et la Ligue de football professionnel ont évidemment été mis au courant. « La pelouse est peut-être un peu moins jolie, mais très correcte à jouer », indiquait le directeur général du club, Alain Deveseleer, sur la chaîne officielle du club la semaine dernière. depuis Nantes les nuits sont fraîches, aucune amélioration, le SBA doit assumer on change la pelouse, les assurances existent, le club loue le stade « assez cher », la qualité, l’entretien du terrain sont compris dans le contrat nes…pourquoi ça m’étonne pas ils vont essayer de Boucher les trous ça coûte moins cher c’est pas ça qui rendra le terrain plus praticable mais c’est comme la personnalisation des tribunes plutôt que d’avoir du gris et blanc qui fait pensé à un bloc opératoire ce stade est neutre sans âme car ça coûte des sous et sba c’est uniquement rentabilité 24/09/16 – sudouest.fr – Lire l’article

JO 2024 : Paris prête à dépenser 145 M€

Le Conseil de Paris est prêt à s’engager, à hauteur de 145 M€ sur sept ans, pour construire et rénover des infrastructures en vue de l’organisation des Jeux Olympiques de 2024. Ce montant sera alloué aux équipements de la ville et de la proche banlieue.

Le comité de candidature de Paris aux Jeux Olympiques de 2024 continue de fourbir ses armes. Il doit aujourd’hui recevoir l’assurance que le Conseil de la ville s’engagera à investir 145 M€ pour la rénovation et la construction d’infrastructures liées aux épreuves. Dans les colonnes du Parisien, François Martins, adjoint chargé des sports, explique : « Ce sont des engagements formels que nous ferons si Paris obtient les Jeux. On s’engage sur 145 M€, ce qui, répartis sur sept ans, est raisonnable. Les JO ne feront pas augmenter les impôts des Parisiens« .
Dans le détail, 30 M€ iront au Bercy Arena II, une enceinte de 7.000 à 8.000 places qui jouxtera l’AccorHotels Arena récemment réhabilité et d’une capacité bien supérieure (20.300 places), 25 M€ aux sites d’entraînement, 21 M€ au futur grand centre aquatique de Saint-Denis, et 12,5 M€ à la rénovation de la piscine Marville à La Courneuve (Seine-Saint-Denis). Ce dernier site, qui doit être modernisé, est pressenti pour recevoir les épreuves de water-polo.
L’investissement semble réduit puisqu’il ne représente que 2,3 % du coût total supposé des Jeux Olympiques, estimé à 6,2 Mrds €. Cette somme bien plus conséquente sera supportée par le Comité International Olympique (CIO) et le comité d’organisation de jeux, financé par la billetterie et les opérations marketing (partenaires privés, produits dérivés), et par des investissements publics. L’Etat devrait, toujours selon le Parisien, apporter 1 Mrd €, soit les deux-tiers des montants qui incombent aux collectivités locales.Un second dossier, comportant toutes ces précisions budgétaires, sera déposé au CIO le 7 octobre prochain. Le verdict est attendu pour le 13 septembre 2017, jour où il sera annoncé à Lima (Pérou). Rappelons que Paris est en compétition avec Los Angeles, Rome et Budapest. Seule cette dernière n’a jamais accueilli les Jeux Olympiques d’été, les trois autres candidates ayant déjà eu cet honneur par le passé (1900 et 1924 pour Paris, 1932 et 1984 pour Los Angeles, et 1960 pour Rome).
19/09/16 – batiactu.com – Lire l’article