Aren’Ice, un bloc de glace émerge à Cergy-Pontoise

INAUGURATION. A l’issue de 24 mois de travaux, Aren’Ice, le nouveau centre national de la Fédération française de Hockey-sur-Glace sera inaugurée ce samedi. Cet équipement a été conçu par l’agence Chabanne et Partenaires comme « un bloc de glace à la volumétrie ciselée. » Découverte.

Après le football à Clairefontaine-en-Yvelines, le rugby à Marcoussis (Essonne), le cyclisme et son vélodrome à Saint-Quentin-en-Yvelines… Le hockey-sur-glace détiendra désormais son « temple » sur la plaine des Linandes à Cergy-Pontoise (Val d’Oise). Ce samedi 19 novembre 2016, l’Aren’Ice sera inaugurée en présence des porteurs du projet, le maître d’ouvrage, la Communauté d’agglomération Cergy-Pontoise (Val d’Oise) et la maîtrise d’œuvre, l’agence Chabanne et Partenaires.

 Ce site accueillera, en effet, des sportifs de haut niveau dans le centre de formation et d’entraînement des équipes de France de hockey, mais aussi des clubs et des scolaires. « Cette patinoire principale sera adaptée aux compétitions de très haut niveau en vue des championnats du Monde qui se déroulera en mai 2017 à Paris et à Cologne », nous signale à son tour Luc Tardif, président de la Fédération française de Hockey-sur-Glace (FFHG) aux quelques 20.000 licenciés, après dix ans d’existence.[…]

17/11/16 – .batiactu.com – Lire l’article

Régie directe ou DSP, les piscines nagent entre deux eaux

Depuis quinze ans, le modèle de gestion des piscines publiques a connu un changement de cap avec l’avènement de la délégation de service publique. Pourquoi y recourir ? Quels sont ses avantages et ses limites ? Quelle est son avenir ? Alors que s’achève le salon Piscine global, à Lyon ce vendredi 18 novembre, Localtis fait le point avec les acteurs du dossier. Equipement emblématique d’un territoire, la piscine publique connaît depuis une quinzaine d’années une évolution de son modèle de gestion. Quand le besoin de renouvellement des établissements construits dans les années 1970 – le fameux plan « 1.000 piscines » – a commencé à se faire sentir, à partir de 2000, de nouveaux acteurs privés ont débarqué pour prêter main-forte aux collectivités territoriales au moyen de la délégation de service public (DSP). Selon le dernier décompte du recensement des équipements sportifs (RES), la France compte 6.413 bassins de natation, publics ou privés, tous types confondus. Sur ce nombre, seuls quelque 900 établissements  de sport et loisirs appartenant à des collectivités sont ouverts à l’année à tous les publics. C’est sur ce marché que s’est développée la DSP qui concernerait aujourd’hui plus de 300 établissements aquatiques. Déjà très présent en Ile-de-France, ce modèle de gestion se diffuse peu à peu dans les grandes agglomérations de province.

Faire face aux manques de ressources

Les raisons de l’arrivée de partenaires privés dans la gestion des piscines publiques sont diverses. Pour certains, c’est l’avènement des piscines-loisirs, proposant équipements et activités ludiques, qui a conduit à se tourner vers des professionnels du loisir. L’évolution normative est également mise en avant. « Il y a indiscutablement une accentuation de la réglementation dans les piscines, une réglementation qui coûte cher pour l’eau, des contrats de travail très réglementés. Il y a enfin un problème énergétique auquel les villes sont très attentives », plaide Yves Rouleau, administrateur de l’Andes (Association nationale des élus en charge du sport). Pour Thierry Prat, chef du service des piscines de la ville de Rennes, les cadres d’emploi de la fonction publique territoriale (FPT) posent une difficulté que la DSP permet de contourner : « Le concours d’éducateur est souvent largement déconnecté du cursus de formation, c’est un vrai problème. De plus, l’Education nationale nous impose des éducateurs, professionnels de l’enseignement, titulaires du Beesan (brevet d’Etat d’éducateur sportif aux activités de la natation) sur le bord du bassin. » La montée en puissance des EPCI dotés de la compétence sport est une autre raison de l’éclosion des DSP. « Pour gérer en direct une petite piscine, une communauté de communes de quinze salariés va devoir doubler ses effectifs, et donc ses ressources. Il est alors intéressant de s’appuyer sur un expert du métier qui va optimiser le modèle pour un coût intégré », explique Sébastien Euksuzian, directeur adjoint d’UCPA Sport Access, qui gère 19 centres aquatiques pour le compte de collectivités.[…] 18/11/16 – Localtisinfo – Lire l’article

JO 2024: Paris a passé son premier grand oral à Doha

Paris 2024 est à Doha au Qatar pour le premier acte de la présentation de son projet. Durant cette première confrontation directe avec ses adversaires, Los Angeles et Budapest, Paris 2024 a mis en avant des Jeux « spectaculaires, porteurs de passion et de sens, fondés sur le partage ». Deux autres rendez-vous sont prévus avant la décision finale. La France en est à sa quatrième candidature en 20 ans.
Vingt minutes, pas une de plus. Paris 2024 a présenté son projet mardi 15 novembre à Doha au Qatar, dans le cadre de l’Assemblée générale des Comités nationaux olympiques (CNO), devant les représentants des 206 CNO, des fédérations internationales et des membres du Comité international olympique (CIO). Les Français ont pris la parole en dernier, après Los Angles et Budapest. « Des jeux spectaculaires, porteurs de passion et de sens » Lors de cette présentation, les porte-parole de la délégation française, Tony Estanguet et Bernard Lapasset, coprésidents de la candidature, Anne Hidalgo, maire de Paris, Teddy Riner, double médaillé d’or aux Jeux olympiques, et Denis Masseglia, président du Comité national olympique et sportif français, ont dévoilé les grands principes du projet Paris 2024. Il s’agit de « Jeux spectaculaires, porteurs de passion et de sens, fondés sur le partage », selon un communiqué de presse envoyé à l’issue de ce grand oral qui avait été préparé avant les JO de Rio. Effectuée en trois langues, la présentation a été agrémentée de deux films, dont un consacré à la présentation des sites. Des sites de compétition prestigieux Selon Paris 2024, « la présentation a souligné le concept novateur, durable et compact du projet ». « Paris 2024 veut être un projet de passion et de sens pour porter haut les couleurs de l’olympisme, ses valeurs et son message », explique Tony Estanguet. Le projet Paris 2024 réunit dans la capitale, ou à proximité immédiate, des sites de compétition prestigieux comme la Tour Eiffel, le Grand Palais, les Invalides ou encore le Château de Versailles. Des équipements sportifs de renommée mondiale, à l’image du Stade de France, de Roland-Garros, du Vélodrome de Saint-Quentin en Yvelines ont été choisis. Environ 85 % des sites se trouvent dans un rayon de 10 km autour du village olympique et 80 % des athlètes seront logés à moins de 30 minutes de leur site de compétition. […] 15/11/16 – rfi.fr – Lire l’article