Bordeaux: Le projet du premier Surf Park de France verra le jour aux abords du Lac

Le projet de Surf Park Bordeaux vient de faire un joli saut en avant. La société qui le porte, Inspiral, va annoncer ce vendredi à l’IDAE (Institut du design et de l’aménagement) l’emplacement qui accueillera cette structure unique en France, ainsi que ses partenaires financiers et techniques. Son président, Lilian Labit, s’est confié à 20 Minutes. « Le terrain est identifié, ce sera en bordure du lac de Bordeaux nord, dans la continuité du Parc des expositions. Bordeaux Métropole a en effet validé l’idée d’un stade nautique à cet endroit, avec notamment un centre aqualudique, porté par la ville de Bruges dans le cadre du plan piscines de la métropole, et notre Surf Park. » « Une vraie convergence de valeurs avec UCPA » Le centre aqualudique a cependant la priorité sur le Surf Park. « C’est-à-dire que nous devons attendre qu’ils aient déterminé leur emplacement exact et leurs besoins avant de travailler sur notre projet. » Ce qui veut dire qu’Inspiral n’aura pas son bail avant un an, un an et demi. « Si l’on rajoute les délais d’instruction, le permis de construire, etc. Cela nous amène à au moins 2021 pour la réalisation du projet. Mais nous avons enfin un emplacement, c’est le principal. » Deuxième bonne nouvelle pour Lilian Labit : deux investisseurs ont été décrochés pour soutenir le projet. « Nous sommes vraiment fiers que UCPA, qui sera l’investisseur exploitant, et Suez, qui assurera les études et la maintenance, nous suivent dans cette aventure. Il y a une vraie convergence de valeurs avec l’UCPA, association reconnue d’utilité publique, et dont le but est de valoriser la pratique du sport. De notre côté, notre ambition est bien de démocratiser la pratique du surf, en l’ouvrant à tous et en l’amenant en pleine ville. » Un projet de 17 millions d’euros L’idée de ce concept est de recréer des conditions de glisse, grâce à des vagues allant jusqu’à deux mètres de hauteur. Ce genre de structure existe déjà à l’étranger, mais pas encore en France. L’ambition du Surf Park Bordeaux est d’attirer 500.000 visiteurs par an, et de proposer 100.000 heures de surf annuelles, à un prix d’entrée « attractif. » Le montant du projet s’élève à 17 millions d’euros. 23/06/17 – 20minutes.fr/bordeaux – Lire l’article

Sans stade à la hauteur, la Belgique pourrait bientôt jouer à domicile… mais à l’étranger

MATCHES AMICAUX – Avec les soucis de la Belgique à se doter d’un stade d’importance et le vieillissement du Stade Roi Baudouin, les Diables Rouges pourraient jouer à l’étranger à partir de 2018. La fédération évoque la possibilité de jouer en France, ou bien aux Pays-Bas.

L’équipe de Belgique pourrait dès 2018 disputer ses matches « à domicile » en France ou aux Pays-Bas, selon une suggestion du nouveau président de la Fédération, Gérard Linard, rapportaient lundi plusieurs médias locaux.

La location du vétuste stade Roi Baudouin prend fin en 2018 et celle-ci coûterait trop cher. Le projet de construction d’un nouveau stade national est actuellement à l’arrêt et aucune autre enceinte belge ne peut proposer une capacité d’au moins 40.000 places.

Il reste une solution : jouer à l’étranger, a expliqué Gérard Linard au quotidien Het Laatste Nieuws. Il y a des stades en France et aux Pays-Bas… Je ne dis pas que l’on doit le faire, et je ne sais pas si c’est faisable, mais c’est un dossier sur lequel nous devons nous pencher« .

Nous avons besoin d’un stade d’une capacité de 40.000 places sinon nous faisons trop de pertes. C’est tout ce qui importe. Nous verrons si un nouveau stade sera construit, si l’ancien sera rénové ou si deux ou trois clubs agrandissent leur stade. Nous devrions donc pouvoir jeter un coup d’oeil à l’étranger« , a argumenté le nouveau président élu le week-end dernier.

La construction d’un nouveau stade national dans l’optique de l’Euro 2020 fait l’objet de vives polémiques depuis plusieurs mois en Belgique. Le dossier est pour le moment enlisé dans différents conflits d’ordre linguistiques, politiques ou urbanistiques.[…]

26/06/17 – www.eurosport.fr – source AFP – Lire l’article

En route vers Paris 2024 : plus de moyens pour savoir nager en Seine-Saint-Denis

« En route vers 2024 » : une semaine sur deux, ce qui pourrait changer dans votre quotidien si Paris organise les Jeux olympiques et paralympiques de 2024. Aujourd’hui : des piscines supplémentaires pour la Seine-Saint-Denis, un département où un enfant sur deux qui arrive en 6ème ne sait pas nager.[] Le dispostif départemental « Je nage donc je suis », lancé en 2014, a concerné les 600 classes de CM2 du département de Seine-Saint-Denis, depuis la rentrée 2016. LE comité de candidature Paris 2024 s’engage à supporter ce type d’actions.[ ] Une piscine olympique et des nouveaux bassins d’entraînement Mais pour rattraper ce retard dans l’apprentissage de la natation, il faut aussi des bassins. Alors Paris 2024 prévoit de construire la nouvelle piscine olympique, près du Stade de France, à Saint-Denis, qui comptera deux bassins et de rénover la piscine de Marville, pour les épreuves de Water-polo.[le] t A cela s’ajoutent des constructions de piscines à Aulnay-sous-Bois, au pont de Bondy et au Fort d’Aubervilliers, qui seront réalisées que les jeux aient lieu ou non à Paris. Ils serviront de bassins d’entrainement aux athlètes. « On avait besoin de sites d’entrainement donc on a mobilisé les communes pour avoir des équipements sportifs sur leurs territoires, donc dans des territoires où il n’y a pas de piscine » précise Marie Barsacq, directrice impact et héritage au comité de candidature.
La piscine de Bondy permettra notamment à l’équipe de water-polo de Noisy-le-Sec de s’entraîner et de jouer ses matchs. à domicile. « Le water polo s’entraîne sur différentes piscines du territoire et leurs matchs officiels se jouent à Montreuil car les piscines sont soit vétustes à Noisy-le-Sec soit trop petites! » regrette Karamoko Sissoko, vice président en charge des sports d’Est Ensemble. Alors de nouvelles piscines c’est forcément très bien, mais des piscines en bon état, ce serait encore mieux. « J’attends que les Jeux olympiques puissent nous permettre de rénover nos piscines et d’en créer de nouvelles » ajoute Karamoko Sissoko, qui salue tout de même « un héritage énorme pour [le] territoire » 23/06/07 – www.francebleu.fr – Lire l’article