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Deux pelouses, distributeurs de bières, boulangerie : Découverte du futur stade de Tottenham

LE SCAN SPORT – Le club anglais remplace actuellement son stade légendaire par une enceinte innovante.

Les supporters de Tottenham sont enthousiastes à l’idée de voir leur nouveau stade sortir de terre en 2018. Il faut dire que cette nouvelle enceinte viendra remplacer le légendaire, mais vétuste White Hart Lane, ou les Spurs jouaient leurs matchs depuis 1899. Dès janvier 2017, le club avait présenté les caractéristiques de son futur club dans une vidéo 3D promotionnelle. Avec plus de 61.000 places, il deviendra le deuxième plus grand stade de Premier League après celui de Manchester United, Old Trafford, qui peut contenir 75643 personnes. Fait inhabituel, ce stade possèdera deux pelouses. La première pelouse pourra se replier en 25 minutes pour laisser place à un nouveau terrain, construit pour accueillir des matchs de football américain. Il faut savoir que la NFL (National Football League) propose chaque année au moins deux matchs en Angleterre. Cette nouvelle technologie doit permettre aux terrains de se rétracter sur des rails, aidés par 68 moteurs électriques. des innovations pratiques pour les supporters Néanmoins, malgré le caractère innovant du stade, plusieurs interrogations commencent à venir à l’esprit des supports anglais des Spurs, et notamment celle des dimensions du terrain, peut-être trop grandes pour les performances sportives des joueurs de Mauricio Pochettino. En effet, alors que l’ancien stade avait des dimensions (100 x 67 m) plus répandues, la prochaine enceinte connaîtra un certain élargissement (105x68m). Par ailleurs, d’autres innovations pourraient voir le jour, à l’image d’un distributeur automatique de bières, un bar qui serait le plus long d’Angleterre, ou encore une immense boulangerie. De plus, les supporters anglais pourraient également apprécier la mise en place de sièges chauffants, équipés de ports USB, permettant de recharger leurs portables. La livraison de ce stade est prévue dans moins d’un an, pour accueillir les matchs de la saison 2018-2019 à Tottenham. 12/09/17 – sport24.lefigaro.fr – Lire l’article  

États-Unis : un nouveau stade futuriste qui fait rêver

Le nouveau stade des équipes de football américain et de football de la ville d’Atlanta est un bijou de technologie qui surpasse n’importe quelle enceinte sportive de France ! Le Mercedes Benz Stadium est tout simplement un des stades les plus modernes du monde. Il abrite deux équipes professionnelles : les Falcons d’Atlanta (NFL/football américain) et le club d’Atlanta United FC (MLS/football). Précisons tout d’abord que l’enceinte est équipée de ce que l’on appelle un « jumbotron » (ou jumbovision), un écran incurvé en forme de halo d’une surface de cent mètres carrés à 360° et pouvant diffuser jusqu’à huit différentes sources télévisées comme le montre la vidéo à visionner en fin d’article. Le stade pourra accueillir 71 000 personnes lors des matchs de football américain, mais la capacité sera réduite à 42 000 pour les matchs de football. Lors de grands événements tels que des concerts, la capacité maximale de 83 000 spectateurs pourra être atteinte. Les architectes du cabinet d’architectes HOK, en collaboration avec TvsDesign, Goode Van Slyke Architecture et Stanley Beaman & Sears, ont pensé à tout puisqu’un impressionnant toit rétractable a été installé. Ce stade à la pointe de la technologie a été inauguré il y a deux semaines et aura tout de même coûté la bagatelle de 1,4 milliard de dollars, à savoir que le constructeur automobile allemand a acheté les droits de naming jusqu’en 2042. De plus, si vous êtes aux États-Unis, sachez qu’aller voir un match dans ce stade vous donnera l’occasion de consommer les boissons et la nourriture les moins chers parmi tous les autres stades des championnats de football américain et de soccer réunis ! 11/09/17 – Science post.fr – Lire l’article

JO Paris 2024 : quel bénéfice pour les travaux publics et la construction ?

Alors que l’annonce officielle de la ville organisatrice des Jeux olympiques en 2024 mais aussi en 2028 sera faite ce mercredi à 20 heures, Batiactu révèle dès lundi le contenu d’une étude sur l’impact de l’organisation des JO à Paris sur le secteur des travaux publics. Découvrez toute la semaine un sujet consacré à l’événement.

Mercredi 13 septembre 2017, à 20 h, heure française, à l’issue d’une ultime présentation de 25 minutes de chacune des deux villes, Paris et Los Angeles, les membres du CIO réunis en session devraient, à main levée, entériner l’accord tripartite qui ne fait plus aucun doute. En juillet, 2017, le Comité international olympique (CIO) avait validé cette double attribution, c’est-à-dire Paris pour 2024 et Los Angeles pour 2028. Désormais, une question se pose : quels seront les impacts pour les travaux publics et la construction.

EXCLUSIF. Alors que l’annonce officielle de la ville organisatrice des Jeux olympiques en 2024 mais aussi en 2028 sera faite ce mercredi à 20 heures, Batiactu révèle dès lundi le contenu d’une étude sur l’impact de l’organisation des JO à Paris sur le secteur des travaux publics. Découvrez toute la semaine un sujet consacré à l’événement.

Mercredi 13 septembre 2017, à 20 h, heure française, à l’issue d’une ultime présentation de 25 minutes de chacune des deux villes, Paris et Los Angeles, les membres du CIO réunis en session devraient, à main levée, entériner l’accord tripartite qui ne fait plus aucun doute. En juillet, 2017, le Comité international olympique (CIO) avait validé cette double attribution, c’est-à-dire Paris pour 2024 et Los Angeles pour 2028. Désormais, une question se pose : quels seront les impacts pour les travaux publics et la construction ?
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« L’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (JOP) en 2024 serait une nouvelle bienvenue pour le secteur des travaux publics et notamment en Ile-de-France », réagissait, Bruno Cavagné, président de la FNTP, le 5 juillet 2017, au cours d’un point presse sur les perspectives à court terme pour les travaux publics et sa vision sur les futures politiques engagées par l’Etat. C’est effectivement une aubaine pour le secteur de la construction alors même que le Gouvernement Philippe a annoncé en juillet 2017 une « pause » dans les grands projets de transport.
« L’organisation des JO peut aussi s’avérer être un tremplin pour l’attribution de l’Exposition universelle de 2025, qui serait également une vitrine du savoir-faire français et valoriserait dans le monde entier les réalisations des entreprises de Travaux Publics », avait-t-il poursuivi.Le président des TP déplorait de nouveau que « la dégradation de nos infrastructures avait été pointée du doigt en 2016 par le forum économique mondial qui a rétrogradé la France, de la quatrième place en 2008 à la dixième place en 2015 de son classement sur la qualité de ses infrastructures. »

L’impact économique global des Jeux se situerait entre 5,3 et 10,7 milliards selon les scenarios

Dans un document interne de la FNTP transmis à Batiactu ce 6 septembre 2017 par la Fédération nationale des travaux publics (FNTP), les opportunités sont passées en détail à partir d’une étude réalisée le 1er juin 2016 par le Comité de candidature de Paris 2024 et le Centre de Droit et d’Economie du Sport. Le rapport détaille que l’impact économique global des Jeux se situerait entre 5,3 et 10,7 milliards selon les scenarios. Un scenario médian estimant à 8,1 milliards d’euros, les retombées économiques nationales et 189.000 créations d’emplois sur l’ensemble de la période. Toutefois, « Paris dispose déjà de 95 % des infrastructures nécessaires à l’organisation des JOP 2024, l’impact sur le secteur de la construction représente donc une faible part de l’impact global », nous signale-t-on au Comité de candidature de Paris 2024.Si à l’heure actuelle, l’impact revenant au secteur des Travaux Publics est loin d’être chiffré, le document de la FNTP signale qu’il pourrait être estimé à 858 millions d’euros. Ce qui représenterait un bénéfice pour les marchés des TP de 288 millions d’euros sur les sites à construire, de 319 millions d’euros de sites à rénover, 240 millions d’euros de travaux d’aménagement urbains et enfin 11 millions d’euros pour la construction et la rénovation de sites d’entraînements.Le budget total des JOP 2024 qui s’élève à 6,6 milliards d’euros se divise en deux grands volets : un premier de 3,3 milliards d’euros destiné aux infrastructures pérennes et un second du même montant aux dépenses liées à l’organisation des JOP à proprement parler. Un budget qui visera l’aménagement des sites existants, les infrastructures temporaires, les logements temporaires ainsi que le transport des athlètes.Le rapport avance aussi que « d’une manière générale et sauf exceptions, il est retenu comme hypothèses d’estimation de la part des Travaux Publics dans les montants totaux de travaux, 10% dans les projets de bâtiments, (comme par exemple le village olympique), correspondant aux réseaux de VRD (eau, électricité, chaussée…) et enfin 80% pour les infrastructures sportives (stades, centre aquatique…) correspondant schématiquement à des travaux de génie civil et de VRD. »
En détails, sur les 3,3 milliards d’euros d’investissements consacrés au premier volet dédié aux infrastructures pérennes qui survivront aux JOP, l’Etat investira 1 milliard d’euros, les collectivités 500 millions d’euros, la Région Île-de-France, 200 millions d’euros, la Ville de Paris 145 millions d’euros et le reste proviendra d’investisseurs privés.
Trois équipements sont à construire spécifiquement pour les Jeux pour un montant total de près de 2 milliards d’euros », rappelle ce rapport du Comité de candidature de Paris 2024 et du Centre de droit et d’économie du Sport. En l’occurrence, se sont le village olympique et paralympique, sur les communes de Saint-Denis, de l’Île-St-Denis et de Saint-Ouen (1,5 milliards d’euros) ; le village des médias, à cheval sur Le Bourget et Dugny (Seine-Saint-Denis) ; le nouveau quartier de 1.500 logements nécessitant l’aménagement d’un terrain de 9 hectares (370 millions d’euros), et enfin le Centre aquatique, à Saint-Denis (123 millions d’euros).

720 millions d’euros seront investis dans la rénovation de plusieurs sites

Près de 720 millions d’euros seront investis dans la rénovation de plusieurs sites : le Stade de France (80 millions), le centre de Water-Polo (29 millions d’euros), le Grand Palais (23 millions d’euros), Roland-Garros (400 millions), le stade Yves-du-Manoir (14 millions d’euros), la base nautique (85 millions d’euros), la colline d’Elancourt (7 millions d’euros), la Marina de Marseille (17 millions d’euros), le stade Pierre-de-Coubertin (7 millions d’euros) et le centre d’exposition Paris Le Bourget (57 millions d’euros) qui accueillera le centre principal des médias composé du Centre international de radio et de télévision (CIRTV) et du Centre principal de presse (CPP)… […] 11/09/17 – Batiactu – Lire l’article