Des sites déjà désignés…
Parmi les sites présentés dans le dossier de candidature de Paris 2024, notons tout d’abord les huit stades qui accueilleront les phases préliminaires du tournoi de football (les phases finales se déroulant au parc des Princes de Paris) : Nice, Bordeaux, Lyon, Saint-Etienne, Marseille, Toulouse, Lille et Nantes. Parmi ces villes, toutes étaient déjà de l’aventure de l’Euro 2016 à l’exception de Nantes, qui avait refusé d’accueillir la compétition européenne en raison d’un cahier des charges trop contraignant. Il est à noter que le budget de candidature ne prévoit aucune dépense sur ses équipements. Autre équipement d’ores et déjà impliqué dans l’aventure : la Marina de Marseille, où se dérouleront les épreuves de voile. Ce site a été préféré à La Rochelle, Hyères, Brest ou Le Havre lors du montage du dossier de candidature. Sa modernisation, prise en charge par des fonds publics, coûtera quelque 19 millions d’euros (estimation valeur 2024).… d’autres encore à choisir
Un certain nombre de disciplines ne connaissent en revanche pas encore leurs lieux de compétition. Il en va ainsi du surf, du kayak, de l’escalade ou encore du rugby à sept pour les phases préliminaires. Cette incertitude fait naître bien des espoirs un peu partout en France. Dans un communiqué, la Nouvelle-Aquitaine a fait savoir qu’elle « prendra sa part dans la réussite de ces JO » et que « plusieurs lieux de son territoire [étaient] déjà candidats pour accueillir certaines de ses épreuves ». Biarritz, Hossegor et Lacanau visent en effet le surf, et le rugby à sept est également dans le viseur, tout comme le tournoi de basket en fauteuil. Le rugby à sept suscite encore des convoitises du côté de Tours, qui organise déjà un tournoi international dans cette discipline devenue olympique en 2016, à Rio. […] 15/09/17 – Localtisinfo – Jean-Damien LESAY – Lire l’article