Paris aura quatre concurrentes dans une course à l’organisation des JO 2024 plus transparente
Budapest (Hongrie), Hambourg (Allemagne), Los Angeles (Etats-Unis), Paris (France) et Rome (Italie) sont désormais en compétition pour l’accueil des Jeux olympiques de 2024, a annoncé le Comité international olympique (CIO) dans un communiqué du mercredi 16 septembre, au lendemain de la clôture des candidatures.
Durant les deux années de compétition – le CIO élira la ville-hôte en 2017 –, les candidates vont mener leur campagne selon de nouvelles règles, imposées par l’Agenda olympique 2020, lequel vise notamment à ce que « la durabilité et l’héritage » soient au cœur de chaque candidature. Les candidates sont ainsi « vivement encouragées » à mettre l’accent sur « l’utilisation de sites existants ainsi que d’installations temporaires et démontables quand la nécessité d’un legs à long terme n’existe pas ou n’est pas justifiée ».[…]
17/09/15 Localtis.info – Jean Damien Lesay – Lire l’article
14septembre
Le Stade de France, le géant à la dérive
C’est un monument. […]A bientôt 18 ans, le Stade de France (à Saint-Denis) rappelle toujours autant les bons souvenirs de Zidane et consorts, tout en continuant d’afficher plein pour divers évènements, sportifs ou non. L’écrin de 81.000 places, qui a participé à l’accueil des Coupes du Monde de football (1998) et de rugby (1999 et 2007), s’apprête à accueillir en partie l’Euro de football de 2016. Mais derrière le plus grand stade du pays, se cachent en réalité des tensions importantes avec les fédérations, qui pourraient sceller le sort de cette enceinte sur le déclin. […]
Un stade qui tient debout grâce à l’État
Se pose alors la question inévitable de la survie du Stade de France, qui tient aujourd’hui grâce à l’apport des deux fédérations, mais surtout à celui de l’État. Le Consortium, qui court jusqu’en 2025, a en effet largement profité de l’argent public qui lui était versé depuis 1995 : en raison de l’absence de club résident, l’État versait 16 millions d’euros par an aux constructeurs, une fortune qui représentait 5% du budget annuel du Ministère des Sports. Au total, ce sont plus de 114 millions d’euros des caisses de l’État qui filèrent dans celles de Vinci et Bouygues. Mais, en 2013, l’État a réussi à faire suspendre le versement de cette somme, pour la période 2013-2017.
Quelques années de répit pour le Ministère, mais surtout une dure réalité qui s’impose pour le Stade de France. En chute libre depuis des années, la fréquentation des concerts et autres évènements culturels semble cependant la seule solution de survie sur le long terme pour cette enceinte. En effet, d’ici quelques années, la FFR se sera installée dans son écrin, et la FFF aura choisi entre le paiement d’un loyer exorbitant et l’appel des nouveaux stades français. Aujourd’hui, le Stade de France se raccroche à l’idée des JO de Paris 2024 pour conserver une attractivité sur le long terme, mais sait pertinemment que son avenir s’inscrit en pointillés dans le paysage sportif français. […]
14/09/15 – huffingtonpost.fr – Lire l’article
11septembre
Eurobasket 2015: découvrez le timelapse du passage du stade Pierre-Mauroy en configuration basket (VIDÉO)
L’Eurobasket ne débute, à Lille, que samedi. Mais le stade Pierre-Mauroy est déjà prêt. La Fédération Française de basket-ball vient tout juste, ce jeudi, de mettre en ligne une vidéo retraçant en timelapse (une succession de photos) la transformation du stade en arène de basket. […]
10/09/15 – lavoixdunord.fr – Lire l’article