Un amendement étend les interdictions de stade aux fan-zones

La proposition de loi pour renforcer la lutte contre le hooliganisme a été adoptée à l’unanimité des députés, ce jeudi, tout en étant dénoncée par l’association nationale des supporters (ANS). Un amendement visant à étendre l’interdiction de stade aux fan-zones divise. Une personne interdite d’entrée dans un stade de Ligue 1 ne pourra donc pas assister, depuis une fan-zone, à une rencontre du championnat d’Europe. Cet endroit qui regroupe les supporters pour assister aux rencontres sur écran géant répondrait donc aux mêmes normes de sécurité que celles appliquées dans un stade. L’entrée serait nominative pour des individus identifiés. […] 04/02/16 – rmcsport.bfmtv.com – Lire l’article

JO : le Val-de-Marne candidat pour une aréna de 6 000 places

Le Val-de-Marne trouvera-t-il sa place dans le dossier des Jeux olympiques ? Ce jeudi, le président PCF du Département, Christian Favier, est revenu devant la presse sur la candidature du 94 pour aménager une aréna de 6 000 places. Cette salle couverte permettrait d’accueillir des épreuves de boxe, badminton et tennis de table. « C’est un équipement modeste, par rapport à l’ensemble de l’organisation, nous en avons conscience », reconnaît Christian Favier. Il y a quelques mois, le Département s’était porté candidat pour abriter le village olympique, obtenu finalement par la Seine-Saint-Denis. Deux villes, Thiais avec son site repéré à l’époque pour le Grand stade de rugby dans la zone Senia, et Vitry avec les Ardoines étaient dans la course. Récemment, une autre candidature a émergé, celle d’Alfortville, qui, selon le conseil départemental, n’aurait pas été retenue par le comité olympique. « Nous devons vérifier si ces deux villes sont toujours partantes », a précisé Christian Favier. Le temps presse. Les esquisses doivent être présentées avant l’été. La semaine dernière, une réunion technique s’est tenue avec Thiais. « Rien n’est encore arrêté. […] 04/02/16 – leparisien.fr – Lire l’article

Face à Thierry Braillard, le Syndicat national des activités physiques et sportives obtient un bon match nul

Transfert des Creps, réforme territoriale et devenir des agents des DRJSCS, formation, conseillers techniques sportifs… et avenir du ministère des Sports ont ponctué la rencontre du 1er février entre le secrétaire d’Etat aux Sports et le secrétaire général du Snaps. Il est des rencontres sportives qui s’achèvent sur une marque de 0-0, et l’on suppose à lire ce score indigent le calvaire des acteurs impuissants à se créer la moindre occasion de but. Il est en revanche d’autres matchs nuls où l’action est omniprésente et où les buts pleuvent à la satisfaction générale. C’est à ce second type de rencontre qu’a participé Jean-Paul Krumbholz, secrétaire général du Syndicat national des activités physiques et sportives (Snaps, majoritaire), face à Thierry Braillard, secrétaire d’Etat aux Sports, le 1er février à Paris. La rencontre était d’autant plus attendue que ce type de rendez-vous est rare. « Ce n’est que la deuxième fois que nous rencontrons le secrétaire d’Etat [en place depuis le 9 avril 2014, ndlr] », confie Jean-Paul Krumbholz, avant d’ajouter : « Un rendez-vous qui s’est bien mieux passé que la première fois. » On pourrait résumer les échanges en… deux mi-temps. Une première, durant laquelle l’on a abordé des dossiers faisant peu ou prou consensus. Une seconde où les désaccords sont apparus. A propos du transfert aux régions des centres de ressources, d’expertise et de performance sportives (Creps), « le dossier est réglé sur la partie sportive et ne pose pas de problème de fond, se réjouit Jean-Paul Krumbholz. La réforme politique s’est faite sur une ligne que nous avions souhaitée ». Il y aura en revanche un problème avec les décrets d’application car les élections au comité technique ministériel viennent d’être annulées par le tribunal administratif en raison d’anomalies dans la procédure électorale. Or sans comité technique, les décrets d’application sur le transfert des Creps risquent d’être momentanément bloqués. Son avis doit en effet être obligatoirement recueilli pour tout texte touchant à l’organisation du service. Cela ne devrait toutefois pas affecter la décentralisation des établissements à terme. Mis à disposition des régions pour l’année 2016, les Creps ne verront pas les transferts mobiliers et immobiliers intervenir avant le 1er janvier 2017. […] 03/02/16 – localtis – Jean Damien Lesay – Lire l’article