Pendant un mois, du 10 juin au 10 juillet, l’Allianz Riviera sera rebaptisé « Stade de Nice » pour ne pas parasiter les sponsors officiels liés la compétition.
Ce n’est qu’un au revoir. A l’occasion de l’Euro 2016, du 10 juin au 10 juillet prochains, l’Allianz Riviera perdra son nom, au profit de celui de « Stade de Nice ». Ce changement répond à une directive de l’UEFA, qui organise la compétition. « La compétition est liée par des partenaires et sponsors commerciaux pendant toute la durée du tournoi final. Les villes hôtes et les stades ont été informés de ces dispositions », explique le service communication de l’UEFA. Autrement dit, les sponsors n’étant pas liés à l’événement ne sont pas autorisés à exister durant la période.
Logo « camouflé ». Le logo de l’assureur Allianz apposé sur la façade du stade sera donc « camouflé », mais pas démonté. La mairie niçoise, elle, estime qu’une telle décision peut être bénéfique. » […]
18/03/16 – europe1.fr – Lire l’article : http://www.europe1.fr/sport/pour-leuro-2016-le-stade-de-nice-change-de-nom-2696212
21mars
Surveillance de baignade : pas d’obligation de recruter des titulaires du BNSSA à compétence spécifique
Pour assurer la surveillance des baignades, les maires n’ont pas l’obligation de recruter des titulaires du brevet national de sécurité et de sauvetage aquatique (BNSSA) assorti d’une compétence spécifique. Telle est la réponse du ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports à une question écrite du député de la Sarthe, Dominique Le Mèner.
Dans sa requête, le parlementaire s’inquiétait des conséquences des arrêtés des 18 et 20 février 2014 fixant le référentiel national de compétences de sécurité civile relatif à deux unités d’enseignement du BNSSA : surveillance et sauvetage aquatique (SSA) sur le littoral et surveillance et sauvetage aquatique (SSA) en eaux intérieures. Pour Dominique Le Mèner, ces nouvelles épreuves du BNSSA, diplôme qui permet d’exercer en tant que sauveteur, pourraient faire augmenter le coût de l’examen, qui varie entre 300 à 800 euros, ce qui aurait pour conséquence de pénaliser les collectivités qui « peinent parfois à recruter des sauveteurs aquatiques pour leurs lieux de baignades (…) tandis que beaucoup de jeunes souhaitent s’engager à travers l’obtention de ce brevet ».
Dans sa réponse, le ministre précise que les seuls diplômes pouvant être réglementairement exigés pour assurer la surveillance des baignades ouvertes gratuitement au public, aménagées et autorisées sont ceux prévus à l’article D 322-11 du Code du sport, au titre desquels figure le BNSSA. […]
21/03/16 – Localtis info – Jean Damien Lesay – Lire l’article
17mars
Les normes sportives dans un bain à remous
L’ordre du jour de la réunion de la Commission d’examen des règlements fédéraux relatifs aux équipements sportifs (Cerfres) tenue le 10 mars a abordé de nombreux sujets. Règlement de la Fédération française de natation (FFN), buts autostables, obligation de vidange dans les piscines et autres problèmes de communication étaient au menu.
Commençons par le plat de résistance, composé par l’examen du règlement relatif aux équipements de natation. Si depuis 2003, la FFN édite un document d’appui d’aide à la conception des piscines pour les maîtres d’ouvrage évoquant les règles qui permettent d’accueillir des compétitions fédérales, aucun règlement fédéral n’avait jusqu’alors fait l’objet d’un avis de la Cerfres. Or l’affaire n’est pas mince : sur 6.637 bassins aquatiques recensés en France, 2.535 sont certifiés par la FFN, soit 38%.
Le projet de règlement de la FFN, qui a reçu un avis favorable sous certaines réserves, a principalement pris acte de l’existant. En effet, le texte ne prévoit aucune exigence supplémentaire pour les piscines existantes qui conservent leur classement antérieur pour l’organisation de compétitions en natation course, natation synchronisée, water-polo et plongeon. En conséquence, trois niveaux de classement pour l’ensemble des activités sont proposés avec deux types de bassin (50 ou 25 mètres) : niveau national/international, avec huit couloirs d’eau demandés ; niveau interrégional, avec huit couloirs recommandés ; et niveau régional/départemental, avec six couloirs recommandés.
Anticiper l’utilisation des piscines en compétition
Pour sa part, l’Association nationale des élus en charge du sport (Andes), qui siège à la Cerfres, a attiré l’attention des collectivités territoriales maîtres d’ouvrage sur le caractère quasi-irréversible des décisions en la matière. La conception d’une piscine est non seulement un investissement lourd, a précisé l’association lors de la réunion, mais une fois les travaux achevés, il est très difficile et très coûteux de modifier les caractéristiques des bassins (largeur et profondeur) pour changer de catégorie.[…]
Ainsi, le passage de deux à une vidange par an pour les piscines publiques devrait entraîner une économie de 40 millions d’euros, en tenant comptes des coûts techniques et de fluides, mais aussi des pertes de chiffre d’affaires évitées et des frais de personnel. De son côté, le ministère des Sports évoque une économie d’environ 10 millions d’euros seulement.Par ailleurs, à propos des vidanges des piscines – norme qui ne relève pas directement de la Cerfres -, la décision de passer de deux à une par an a été confirmée par le ministère des Affaires sociales. La mesure pourrait entrer en vigueur au second trimestre 2016. […]
16/03/16 – Localtisinfo – Jean Damien Lesay – Lire l’article : http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250270463038&cid=1250270459446