La Fédération française de cyclisme veut conquérir les villes avec le BMX Park

Si les villes ne viennent pas au BMX, le BMX viendra à elles. C’est ainsi que pourrait se résumer la philosophie offensive de la Fédération française de cyclisme (FFC) qui aborde en ce printemps 2016 une étape décisive dans le développement de son offre à destination des collectivités territoriales. Devenu sport olympique en 2008, le BMX, dont la version compétitive se déroule sur un circuit fermé constitué de bosses, a connu un succès grandissant depuis les Jeux de Pékin. Le bond en avant de cette discipline (+35% de licenciés entre 2009 et 2013) a largement contribué à la hausse des effectifs de la FFC, qui compte 120.000 licenciés, dont 21.500 en BMX. Mais ce développement se heurte aujourd’hui à un obstacle majeur : le manque de lieux de pratique.

Départements vierges

Avec 245 pistes de BMX, la France peut sembler bien équipée. Mais ce chiffre recouvre de grandes disparités. Ainsi, douze départements ne possèdent aucun lieu de pratique classé. De même, une seule piste existe pour Paris et la Petite Couronne.[…]

Un lieu de pratique autogéré

L’offre de la FFC aux collectivités s’appuie sur une convention qui inclut la prestation d’un référent technique mis à la disposition de la mairie et qui intervient comme un chef de chantier.  »C’est intéressant pour la collectivité qui n’est pas obligée de faire appel à une société spécialisée, pointe Guillaume Schwab. Cela lui coûtera donc mois cher car elle peut passer par une entreprise de BTP locale, voire par ses propres services techniques dans le cas d’une commune importante. »[…] 05/05/16 – Localtis.info – Jean Damien LESAY – Lire l’article

L’Arena 92 sera finalement livrée avec neuf mois de retard

Initialement prévue au dernier trimestre 2016, la livraison de l’Arena Nanterre La Défense (Hauts-de-Seine) conçue par les équipes de l’architecte Christian de Portzamparc, est finalement annoncée pour le 30 septembre 2017. Soit avec un retard de neuf mois, ont expliqué ce lundi le maître d’ouvrage, le club du Racing 92 et le constructeur Vinci.
Deux ans après la pose de la première pierre, la future Arena Nanterre La Défense (Hauts-de-Seine), réalisée par les équipes de l’architecte Christian de Portzamparc, sera livrée avec neuf mois de retard, ont expliqué, lundi 2 mai, le maître d’ouvrage, le club de rugby du Racing 92 et le groupe de BTP Vinci. « Initialement prévue au dernier trimestre 2016, finalement la date de livraison et d’inauguration de l’Arena 92 sera concomitante », nous a confirmé ce lundi le porte-parole du Racing 92.

Dépôt de bilan de la société italienne censée œuvrer sur la structure du toit fermé

Avant d’ajouter : « A cause d’une entreprise italienne sous-traitante de Vinci en charge de la construction de la toiture fermée et des charpentes, qui a déposé le bilan (Ndlr: fin 2015), le constructeur s’engage désormais à livrer l’enceinte fin septembre 2017. Par conséquent, en attendant la fin des travaux, la saison du Top 2016-2017 se jouera pour notre club au stade Yves-du-Manoir à Colombes. »

 Une enveloppe budgétaire en hausse ?

Quant au coût final, initialement prévu à 351 millions d’euros – dont le financement est assuré par le groupe Ovalto Investissement en fonds propres et crédit octroyé par Natixis- il pourrait également être revu à la hausse. « Je ne peux pas chiffrer ça exactement aujourd’hui, j’en saurai plus à la fin du mois de mars 2016 », avait signalé Jacky Lorenzetti au Midi Olympique, mars dernier. La direction du club n’apporte aucun élément à ce jour.

02/05/16 – Batiactu.com – Lire la suite

Profession sport et loisirs tire un bilan positif de ses emplois d’avenir

En 2012, la Fédération nationale profession sport et loisirs (PSL) avait signé une convention avec le ministère des Sports par laquelle elle s’engageait à recruter mille jeunes en emplois d’avenir. Plus de trois ans plus tard, PSL, premier groupement d’employeurs du secteur sportif en France, tire un bilan quantitatif et qualitatif de son engagement. Quantitativement, ce sont au total 1.014 jeunes qui ont été recrutés en emploi d’avenir et accompagnés par le réseau PSL, dont 704 dans le secteur du sport, 182 dans l’animation et 110 dans un autre secteur. S’il existe de fortes disparités régionales dans le recrutement, l’étude fait ressortir que les partenariats mis en place – comme celui liant l’antenne de PSL en Seine-Saint-Denis et la ligue de football d’Ile-de-France, à l’origine de 120 contrats – ont favorisé les recrutements. Parmi les jeunes recrutés, 10% venaient de zones de revitalisation rurale, 16% de zones urbaines sensibles et 74% d’autres territoires ou d’outre-mer. Les recrutements ont principalement concerné des demandeurs d’emploi (71%), devant des salariés (12%) et des étudiants (9%). Quant à la qualification, seuls 43% des jeunes embauchés possédaient un diplôme dans le champ du sport ou de l’animation. Les structures employeuses étaient à 69% des clubs sportifs, devant les collectivités territoriales (13%) et les comités sportifs départementaux et établissements scolaires (13%) et les associations socioculturelles (5%). Les contrats signés par les collectivités avaient la particularité d’être des CDD dans 100% des cas, contre 12% de CDI pour les clubs sportifs et 17% pour les associations socioculturelles. En revanche, les collectivités territoriales arrivaient en tête pour les contrats à temps plein (94%), tandis que les clubs sportifs recouraient au temps partiel dans 20% des cas. 29/04/16 – Localtis info – Jean Damien LESAY – Lire la suite