Stades connectés : l’exemple de l’Allianz Riviera de Nice

Les enceintes sportives doivent aujourd’hui répondre à de multiples enjeux : elles sont multifonctionnelles, durables et communicantes. Sur ce dernier aspect, les stades construits pour recevoir l’Euro-2016 font figure de réalisations exemplaires. Steve Lisima, le responsable de la communication digitale à l’Allianz Riviera (Nice), nous en dit plus sur toutes les fonctionnalités déployées.
A l’heure du tout numérique, des objets connectés et des réseaux sociaux, les stades entament leur évolution afin de proposer une expérience toujours plus riche à leurs spectateurs. Steve Lisima, le chef de projet « Communication digitale » du stade Allianz Riviera de Nice, nous explique : « Dès l’origine, le stade a été connecté en 4G par SFR. Puis les trois autres opérateurs – Bouygues, Orange, Free – se sont alignés. Depuis la fin janvier 2016, il est également équipé en Wifi HD« . Une évolution souhaitée par Allianz, le sponsor du stade à qui il donne son nom, et un choix stratégique. « Aujourd’hui, 98 % des gens ont un smartphone et ils sont habitués à un certain nombre de services, notamment pour partager leur match« , poursuit le responsable.

Les 36.000 personnes réunies dans les tribunes en configuration football pourront donc profiter d’une connexion haut-débit grâce au déploiement de 467 bornes relais. « Elles sont réparties entre les tribunes, l’espace VIP, la salle de presse et le parvis« , nous précise-t-il. « Nous avons pris exemple sur les stades espagnols pour le dimensionnement. Là-bas, ils enregistrent 8.000 connexions simultanées pour une capacité de 80.000 places. Ici, nous pourrons offrir 10.000 connexions simultanées, ce qui est très important !« , détaille Steve Lisima. Le stade des Lumières de Lyon pourrait, quant à lui, soutenir entre 15.000 et 20.000 connexions mais sa jauge, 59.000 places, est plus importante.

24/05/16 – batiactu.com – Lire l’article

Aides aux clubs sportifs en ZRR : le CNDS fait-il fausse route ?

Près de deux ans après un rapport qui avait mis en lumière le peu d’effet de levier des subventions du Centre national pour le développement du sport (CNDS) dans la réalisation des équipements sportifs, c’est une nouvelle erreur d’aiguillage de la politique de l’Etat en matière sportive qui vient d’être révélée. Cette fois, ce sont les aides aux associations sportives en zones de revitalisation rurale (ZRR) qui sont en cause. Le conseil d’administration du CNDS du 23 février dernier avait mis à jour une baisse de 49% des subventions sur la part territoriale (subventions accordées par les commissions territoriales du CNDS) aux clubs situés en ZRR. Ce phénomène est d’autant plus inattendu que le centre a fait des ZRR des cibles privilégiées de sa politique d’aide aux associations, aux côtés des QPV (quartiers prioritaires de la politique de la ville). Thierry Braillard, secrétaire d’Etat aux Sports, a donc souhaité comprendre pourquoi les subventions aux associations en ZRR étaient en baisse. Il a demandé à l’Andes (Association nationale des élus en charge du sport) de conduire une enquête à travers sa commission « Sport Ruralité et Montagne » et les communes rurales de son réseau.

Des dossiers de subventionnement trop complexes

Les résultats de cette enquête à laquelle ont répondu 113 communes situées en ZRR ont été rendus publics le 23 mai. Ils font apparaître trois freins principaux pouvant faire obstacle au dépôt de dossiers de demande de subventions par des associations sportives en ZRR. Le principal frein réside dans la difficulté et la complexité de la constitution des dossiers pour les petites structures souvent par manque de bénévoles (77,9% des réponses). Le manque de cohérence entre les axes prioritaires définis par le CNDS sur la part territoriale et les besoins des associations sportives est cité par près d’une commune sur deux (46,9%). Enfin, le manque d’accompagnement des structures dans le montage des dossiers est mis en avant dans 43,4% des réponses. 25/05/16 – Localtisinfo- Jean -Damien LESAY – Lire l’article

Rennes. Un bassin nordique en 2018 à la piscine de Bréquigny

Le conseil municipal, réuni lundi soir, a également dévoilé les esquisses du futur bassin nordique de Bréquigny. Il ouvrira ses portes dans deux ans. Les travaux du bassin nordique commenceront début 2017, pour une ouverture au public prévue au premier trimestre 2018. 50 m de long, 10 lignes d’eauLe bassin extérieur qui sera ouvert toute l’année, fera 50 m de long, avec dix lignes d’eau, et une profondeur variant de 1,30 m à 1,80 m. Un espace de jeux pour les enfants (pataugeoire sèche), plages et espaces de détente sont également prévus. Bassin olympique extérieurAutre modification par rapport au projet initial : la certification du bassin olympique extérieur. Elle implique le respect de normes fédérales, donnant la possibilité d’accueillir des événements sportifs attractifs et d’associer son offre avec celle du bassin olympique couvert. 23/05/16 – Ouestfrance.fr – Lire l’article